François Prosper JACQMIN dit « Frédéric » (1829 - 1889) est
le frère de Charles JACQMIN, mon ancêtre à la 6e génération.
Arbre de parenté
entre mon grand-père maternel Serge JACQMIN et son lointain cousin Robert
Source : Heridis
François dit « Frédéric » et son frère
Charles sont les enfants de François Nicolas JACQMIN, musicien, et d’Angélique
Dorothée MOUTON qui se sont mariés à Rouen en 1819.
Frédéric, né le 30 mai 1820 à Paris, est leur premier
enfant.
Il sera suivi de Charles en 1825 puis de trois autres
enfants : Henri en 1826, Henry Adolphe en 1836 et enfin une fille, Suzanne
en 1839.
Frédéric
a fait l’Ecole Polytechnique et est nommé en 1841 ingénieur des Ponts et
Chaussées.
Vingt-cinq
ans plus tard, en 1872, il est devenu Ingénieur en chef des Ponts et Chaussées,
Directeur de l'exploitation des chemins de fer de l'est et Professeur à l'école
des Ponts et Chaussées.
Lors de mes recherches sur Gallica, je suis tombée sur un
livre qu’il a écrit cette année-là Les chemins de fer pendant la guerre de
1870-1871 : leçons faites en 1872 à l'École des ponts et chaussées.
Les chemins de fer
pendant la guerre de 1870-1871
Par Frédéric JACQMIN
Source : Gallica
Pas moins de 350 pages sur l’étude comparative de
l’exploitation des chemins de fer en France et en Allemagne pendant la guerre
de 1870.
Un beau leg pour l’Ecole des Ponts et Chaussées ainsi que
pour sa descendance !
Retrouvez
la généalogie de François Prosper dit « Frédéric » JACQMIN sur
mon arbre en ligne sur Geneanet en cliquant ICI.
FIN.
Merci Marine pour cette parution, François-Prosper "Frédéric" est mon ancêtre direct (mon arrière arrière grand-père et je possède un livre qui retrace toute sa vie (daté de 1892 et écrit par E. Cheysson (Inspecteur Général des Ponts et Chaussées).
RépondreSupprimerPour compléter son portrait, il a été l'un des "ancêtres" des chemins de fer. "Il n'est pas une seule partie des chemins de fer, où il n'ait marqué profondément sa trace. A établi une partie importante de la ligne de Paris à Lyon, celle de Lyon à Genève et de Fribourg à Lausanne. A pris une part très active dans l'extension du réseau de l'Est à l'étranger.
Il a participé brillamment à la guerre de 1870.
Son ingéniosité pour l'exposition universelle de 1867 lui valut d'être nommé officier de la Légion d'Honneur et en 1874, il fut nommé commandeur de la Légion d'Honneur.
Il a été ingénieur, administrateur, professeur (à l'Ecole des Ponts et Chaussées) et écrivain.
Bonne soirée Marine