G
|
uillaume LOURIOUX est mon Sosa 78 à la 7e
Génération.
Arbre de descendance
Source :
Heredis
C’est le père
de Marie Louise LOURIOUX, l’arrière-grand-mère de mon grand-père.
Le nom de
LOURIOUX est bien connu dans la famille car cette branche était présente dans
le village d’Issoudun dans l’Indre (36) où mon grand-père avaient deux tantes
éloignées, deux sœurs : Hélène et Estelle Bouillot, chez qui il s’était
réfugié avec sa mère et son frère Henri pendant la première guerre mondiale.
Découvrez sur le site du département de l'Indre (36) de vieilles cartes postales d'Issoudun !
Découvrez sur le site du département de l'Indre (36) de vieilles cartes postales d'Issoudun !
En
grandissant, mon grand-père, puis sa femme, ma grand-mère, sont restés très
proches des Tantes d’Issoudun et spécialement de Tante Hélène, sa sœur Estelle étant
décédée en 1939.
Guillaume
LOURIOUX et son épouse Anne PERROT sont les arrière-grands-parents communs
entre ces Tantes et la mère de mon grand-père.
Guillaume LOURIOUX et Anne PERROT
Le nom de
famille de Guillaume est écrit « LOURIOU » sur son acte de naissance en
date du 5 germinal an VIII (26 mars 1800) à Issoudun (36).
Il est le
fils de François Joseph, boulanger et Marie THOMAIN.
Il semble
être le premier d’une nombreuse fratrie : 4 frères et 7 sœurs !
26 ans
plus tard, son nom s’écrit « LOURIOU » sur l’acte d’état civil rédigé
à Issoudun lors de son mariage avec Anne PERROT (ou PERREAU selon les actes) en
juillet 1826.
Mais son
nom sera ensuite généralement écrit « LOURIOUX » sur les actes de naissance de ses enfants alors que
lui-même signe « LOURIOU » :
Tout
d’abord pour ses 3 filles dans la commune de Saint-Outrille à une
cinquantaine de kilomètres d’Issoudun: Louise en 1827 (mon sosa 39), Sophie en
1828, et Adèle en 1829 ; puis ensuite 3 garçons nés à Issoudun :
Etienne en 1831, Léonard en 1834 et Emmanuel Jules en 1897.
Son nom
n’est pas la seule chose qui change au fil des années… il semble avoir changé
de métier un grand nombre de fois.
Tour à
tour boulanger, comme son père à son mariage en 1826, il sera ensuite dénommé
aubergiste en 1827, de nouveau boulanger en 1828 et 1829 avant d’être voiturier
en 1831, journalier en 1834 puis de nouveau voiturier en 1837. En 1849, il sera
roulier avant d’être de nouveau dénommé voiturier à partir de l’année suivante
et cela plusieurs fois jusqu’en octobre 1860.
Pour
rappel, et d’après le Trésor de la Langue Française (TLF), dictionnaire de
français ancien disponible ICI.
- le voiturier est une personne qui transportait voyageurs et marchandises par voiture attelée
- le roulier était un voiturier qui assurait le transport public des marchandises.
Je perds malheureusement
sa trace à partir du 2 octobre 1860, date du mariage de son fils Emmanuel Jules
avec Catherine Fournier à Issoudun.
Il a
alors 60 ans. Sa femme, Anne PERROT est décédée 4 ans plus tôt et il vit avec
(entre autre ?) Emmanuel Jules rue du Jeu à Issoudun.
Je sais
qu’il est décédé avant le 23/10/1887, date du décès de sa fille Anne Sophie
mais pour l’instant, mes recherches sont restées vaines quant à son acte de
décès. Rien à Issoudun pendant cette période, ni même à Châteauroux (36),
Bourges (18) ou même Paris 17e où vivait sa fille Louise.
Encore
une énigme à résoudre !
FIN.
Bonjour Marine,
RépondreSupprimerJ'ai aussi des patronymes à l'orthographe difficile dans mon ascendance... Pour un peu qu'ils soient mobiles, ça devient vite compliqué de les identifier... Je suppose que tu as consulté les tables décennales déjà... As-tu essayé une recherche dans la presse locale ?
Bonne journée,
Guillaume
Bonjour Guillaume,
SupprimerMalheureusement les archives de l'Indre ne sont pas très fournies ! Seulement l'Etat civil, recensements et plans cadastraux mais bon, c'est déjà ça ! Mais effectivement, c'est une bonne source d'informations !